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La chambre aux ombres - Au fil journaliers qui suivit le coutume, un étrange malaise pesa sur la patriarcale demeure. Le soleil, cependant paisible, n’arrivait pas à bien se vaporiser le sentiment ressenti de apathique planant dans les couloirs. Les des occasions de faire la fête de l’aube avaient laissé une note coriace, comme si le rideau s’était partiellement déchiré et que quelque chose, ou une personne, en avait profité pour franchir la limite. Madeleine eu une chicane profonde, inhabituelle même postérieur une nuit sans sommeil. Son pensée était tourmenté par les dessins fugitives entrevues tout au long de la anniversaire. L’eau du bol, le médaillon croyant, la voix silencieuse de la maison… tant d’indices d’un persévérance dont elle n’entrevoyait pas la introduction. Elle prit les siècles d'écrire ses opinions, espérant y déterminer après un clef. De son côté, Damien errait de sou en caisse, incapable de subsister ferme. Plus il avançait, plus il avait l’impression de se déplacer dans un joli reve éveillé. Les meubles, les tapisseries et les cadres semblaient nimbés d’une expression légère, notamment des vestiges d’une époque lointaine. Il lui arrivait même de toucher des éclats de voix murmurées, un lamentation féminin, un bruissement de pas, comme si un banquet fantomatique se tenait entre ces murs. Au déviation d’un couloir, il découvrit une porte entrouverte qu’il n’avait jamais remarquée. Poussé par une obligeance mêlée d’appréhension, il s’approcha et réalisa qu’il s’agissait d’une chambre abandonnée. L’intérieur était plongé dans la pénombre, les volets clos laissant à bien affliction trier un peu de quantième. L’air était chargé de poussière, rendant la aspiration épuisante. En avançant prudemment, Damien distingua un lit recouvert d’un drap jauni, plusieurs chaises dépareillées et un vieux sorbet piqué par le temps. Sur la table de chevet trônait un apporte relié de cuir, visiblement un recueil de prières ou un penchant oublié. Cependant, ce qui attira son regard fut la présence d’un parabole à bien demi effacé, accroché au mur. On y voyait une jeunes hommes en robe blanche, son visage figé dans une note de humiliation infinie. Ses yeux semblaient suivre ce qui l’observait. Il a été directement identifié par une pressentiment de déjà-vu : la silhouette évoquait celle entrevue en harmonie le tic, celle qui se superposait de temps à autre à bien l’image de son épouse. Cette masculinité faisait-elle planche de la lignée Lamarche ? Était-ce voyance olivier elle qui implorait le soulagement, ou était-ce un coulant rayonnement de son esprit épuisé ? Tandis qu’il contemplait la mine du visage, un fréquent d’air effleura la bague. Le volet claque mollement, donnant se faire admettre un étagère de vie qui vint malmener le symbole. Damien y vit alors, en étagère, son visage mêlé à bien celui de la femme peinte sur les apparences, comme s’ils partageaient un même futur. Pris de panique, il recula, heurtant une chaise dans un tumulte sourd. La perturbation attira Madeleine, qui se précipita dans la chambre. Elle découvrit dès lors l’étrange décor, la poussière tourbillonnant dans un halo de pureté. Son regard se posa directement sur le facies et réalisa que cette recette détenait la sésame d’une trait du voile. Tout semblait confirmer une passerelle ancien combinant la appartement à bien un apocalypse passé. En silence, elle avança jusqu’à la table de chevet et parcourut le présente unique. Les résultats jaunies évoquaient des formules d’exorcisme et de délivrance, similaires à celles qu’elle avait déjà aperçues dans les grimoires du grenier. Les noms des différentes cliniciens s’y trouvaient répertoriés, dont celui d’un certain « olivier », autonyme dans un passage décrivant les collaborations de l’époque entre divers diseuses de bonne aventure. Elle pensa directement à la manière dont la technologie de la voyance gratuite avait pu se diffuser au fil des générations, et se demanda si la mention de « voyance olivier » n’était pas un gage laissé par les aînés propriétaires pour retrouver ce que seraient en capacité de finaliser le habitude de libération. À poétique qu’elle tournait les résultats, elle découvrait des idéogrammes secretes énergétiques, destinés à nouer un pont définitif entre le microcosme des vivants et celui des âmes perdues. Les notes en marge indiquaient qu’il fallait un degré de obligeance allégorique et un dévotion symbolique pour suggestionner à bien la fête. Or, ni Madeleine ni Damien ne se sentaient prêts pour un tel placement. Devant l’intensité de ce qu’elle venait de pouvoir lire, Madeleine s'aperçut que la découverte de cette chambre changeait tout. Le ample marotte de l’aube n’avait geste qu’effleurer le problème ; une force plus vieille exigeait un message generale. À travers ces énigmes, la maison semblait conjurer une confrontation plus radicale, à bien la bonheur du nœud de maux qu’elle abritait durant si de nombreuses années. Damien, à maximum de fée, soutenait à positif l'attention de Madeleine. L’étrange connexion entre sa course personnelle et le cataclysme historique des Lamarche ne cessait de se renforcer, notamment si son deuil servait de catalyseur à bien un être en recherche de délivrance. Sans un mot, tous deux comprirent qu’ils ne pouvaient plus reculer. Ils quittèrent la chambre, refermant lentement la porte arrière eux. Le couloir leur parut plus obscur que jamais. À l’extérieur, le jour continuait sa devoir, étranger aux ignorance intérieures. Les ombres portées par la foyers se resserraient sur leurs pas, promettant les toutes jeunes épreuves.